Les 210 répartiteurs, répartitrices et employées de bureau du centre de communication d’Urgences-santé sont toujours sans contrat de travail, et cela, depuis près de trois ans. Pour forcer le déblocage des négociations qui stagnent depuis des mois, ils ont déclenché la grève pour une troisième fois, hier soir à 23 h. Celle-ci se poursuivra ce vendredi 23 février.
22 février 2018